... c'est que je suis incapable de ne pas me rappeler l'état d'esprit dans lequel (ça craint, les relatives) j'étais quand je les ai vues pour la première fois. Et les séries repassent, et repassent. Et ce soir donc (car t'avouerai-je, admirable lecteur (t'ai-je manqué ?), que certaines corrections de certains commentaires de certaines premières techno passent un peu mieux avec une série en fond sonore, shame shame shame), en écoutant missing disparus sans laisser de trace (à ne pas confondre avec fbi portés disparus, ce qui m'a valu de résumer à L. un dimanche soir trois saisons de ce qui n'avait rien à voir avec ce qu'on regardait, à lui dire, "mais c'est bizarre quand même, ils ont changé tous les acteurs", ah, rendez-nous Gloria Reuben et faites qu'elle cesse de disparaître aux changements de saisons), eh bien, me semble que je pensais encore à Julie quand j'ai vu ça pour la première fois. Ça ira mieux quand on aura passé la date anniversaire de ma rupture avec elle (un 31 octobre, je ne risque pas d'oublier, d'où mes fantasmes de rejet, en ce moment ; j'ai des nuits difficiles), je me dis.
Oui, enfin bon.
(Qu'elle crève, pour le moment)
(Mais sinon ça va, si on excepte les fantasmes d'abandon, ça va.)