Densité
Bien failli avoir un post qui disait : "oo ooooo oo ooooooo ooooo ooooo ooooooo ooooooo oo oooooooo oo oooooooo ooo", pour cause d'hsage définitif des 106 moins une touches du clavier. D'toute façon ça reflétait assez globalement mon état d'esprit du moment : oh.
Oh.
L'équation est simple : je suis rentrée vendredi ; j'ai eu un week-end *dense* ; je suis tout à fait bouleversée par *sa* (grrrrrrrr) tendresse et tout le reste ; je n'ai récupéré un clavier en état de marche (à propos, faites-moi penser -- fin août -- à vous donner enfin la solution de l'énigme de juillet 2004 concernant les claviers de macs) qu'à midi. Dans l'intervalle, j'ai eu autre chose à faire, quoique j'aie pensé à toi, lecteur. Je repars en vacances demain. Je ne serai donc en mesure de *tout* raconter qu'à la mi-août ; ou peut-être même après, parce que je vais repartir ensuite (c'est clair ; oui ? non ?) ; ce qui va me forcer à faire dans le narratif, ce que j'exècre, surtout rapport aux analepses et surtout quand l'histoire a commencé un 12 octobre 1982 (voui, tu n'étais pas né, lecteur, encore un rêve naïf dans le cerveau malade de tes parents, ou alors tu te faisais encore dessus dans tes pampers, alors que le L. et moi, on s'envoyait déjà en l'air sur Thiéfaine ; rhâ.) et n'est pas encore finie à ce jour.
Dingue.
Enfin, au moins on pourra dire que cette année, la Déesse n'a pas mégoté avec les cadeaux d'annive, même si ce n'était absolument pas ce que j'avais commandé. Bref, et pour aller un peu plus moins que ce teasing de bas étage, on s'est fait deux week-ends moi Charles, toiLaura Caroline, elle s'appelle Caroline (il ne faudrait pas que ce brave Charles couche avec sa fille quand même). Ingalls. Tatatada, tatatada, tatatata, tatata, tata, tata. Avec mon ex d'il y a 23 ans. Vouaip, ça s'appelle vieillir jeunes gens, et c'est vraiment vachement bien (notamment concernant ma phobie des parkings, où ça, une claustrophobie et ma peur du noir ?)
Avec une mention spéciale pour les hommes de 40 ans (au premier degré destinée au L. en question, mais aussi au deuxième pour un autre psychopathe qui se reconnaîtra :)) : vous êtes magnifiques, avec enfin votre sincérité, vos yeux un peu frippés sur les bords, vos in/certitudes (je tiens au slash) superbes et votre bide. Vouais. Pouvoir dire sans faux-semblants : j'en suis là, et voilà. Et nous pouvons enfin être et frère et soeur et amant et maîtresse, et ça me bouleverse. (Où on aura remarqué que je suis facilement bouleversée en ce moment, ça doit être hormonal, un peu comme le sarcasme.) (Ça ne dit pas d'ailleurs pourquoi je craque aussi facilement sur de jeunes cons de 30 ans.)
Nb et sans rien (enfin si, un peu beaucoup) à voir avec le reste ; colonne lectures mise à jour (la troisième en partant du haut, après les liens morts).
Oh.
L'équation est simple : je suis rentrée vendredi ; j'ai eu un week-end *dense* ; je suis tout à fait bouleversée par *sa* (grrrrrrrr) tendresse et tout le reste ; je n'ai récupéré un clavier en état de marche (à propos, faites-moi penser -- fin août -- à vous donner enfin la solution de l'énigme de juillet 2004 concernant les claviers de macs) qu'à midi. Dans l'intervalle, j'ai eu autre chose à faire, quoique j'aie pensé à toi, lecteur. Je repars en vacances demain. Je ne serai donc en mesure de *tout* raconter qu'à la mi-août ; ou peut-être même après, parce que je vais repartir ensuite (c'est clair ; oui ? non ?) ; ce qui va me forcer à faire dans le narratif, ce que j'exècre, surtout rapport aux analepses et surtout quand l'histoire a commencé un 12 octobre 1982 (voui, tu n'étais pas né, lecteur, encore un rêve naïf dans le cerveau malade de tes parents, ou alors tu te faisais encore dessus dans tes pampers, alors que le L. et moi, on s'envoyait déjà en l'air sur Thiéfaine ; rhâ.) et n'est pas encore finie à ce jour.
Dingue.
Enfin, au moins on pourra dire que cette année, la Déesse n'a pas mégoté avec les cadeaux d'annive, même si ce n'était absolument pas ce que j'avais commandé. Bref, et pour aller un peu plus moins que ce teasing de bas étage, on s'est fait deux week-ends moi Charles, toi
Avec une mention spéciale pour les hommes de 40 ans (au premier degré destinée au L. en question, mais aussi au deuxième pour un autre psychopathe qui se reconnaîtra :)) : vous êtes magnifiques, avec enfin votre sincérité, vos yeux un peu frippés sur les bords, vos in/certitudes (je tiens au slash) superbes et votre bide. Vouais. Pouvoir dire sans faux-semblants : j'en suis là, et voilà. Et nous pouvons enfin être et frère et soeur et amant et maîtresse, et ça me bouleverse. (Où on aura remarqué que je suis facilement bouleversée en ce moment, ça doit être hormonal, un peu comme le sarcasme.) (Ça ne dit pas d'ailleurs pourquoi je craque aussi facilement sur de jeunes cons de 30 ans.)
Nb et sans rien (enfin si, un peu beaucoup) à voir avec le reste ; colonne lectures mise à jour (la troisième en partant du haut, après les liens morts).
Ecrit par Loutre, le Mardi 2 Août 2005, 00:08 dans la rubrique Journal de bord.
Commentaires :
Coronis
05-08-05
à 01:05
Very very happy for you ;)
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oo ooooooo oo ooooooo oo ..... Super .... oo ooooooo oo ooooooo oo ooooooo oo .... Bonnes suite de vacances .... oo ooooooo oo ooooooo
Re:
Vouaipf ! Ooooooooooooooooooooooooooooooooooo !!! Bisous Zeb. On va quand même essayer de se voir plus d'une fois par an ? hein ?