Paradoxes compulsifs #1
Je suis la vie et la mort
ton début et ta fin
le réconfort et l'absence
les bras qui t'enserrent
et ceux qui te libèrent
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
je suis ta meilleure amie
je suis ton pire ennemi
j'étais là au début
je serai là à la fin
je suis la vie et la mort
l'univers et fin
je t'ai porté dans mon ventre
je te porterai en terre
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
je suis dans ta parole à nouveau libérée
dans ta gorge qui soudain se serre
dans tes larmes qui enfin jaillissent
je suis là où tu ne m'attendais pas
je suis celle qui ne t'attendait plus
celle qui sera toujours là
celle qui t'avait oublié
celle qui parlait de toi
celle qui n'est jamais venue
celle que tu retrouveras
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
ta vigilance ton inquiétude
ton ouverture et ta prison
ta lumière et l'obscurité
jamais là dans cette vie
toujours présente dans la suivante
ton univers et la fin
ta mort et ton extase
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
Je ne sais plus qui (je sais très bien, mais bon) avait dit qu'il ne fallait jamais regretter un post, mais celui-là, je vais le regretter :).
C'est un peu délicat parfois de savoir qui me lit sans savoir comment au juste on me lit, m'enfin c'est pas très grave, comme mise en danger, je fais pire en ce moment.
Une fois de plus complètement stoned, atomisée, dispersée/ramassée, c'est pas tous les week-end que j'ai quatre expériences mystiques par jour et il m'importe, j'ignore au juste pourquoi mais avant de laisser les choses se décanter, de marquer le coup par un fantasme de toute puissance et par une parole complètement spontanée, aussi idéale qu'honteusement lyrique (et bien entendu : oui, c'est hormonal).
nb : désolée pour les répétitions dans les derniers posts, écrire, évidences, ben ouais quoi, ça me fatigue rien que de penser à les corriger.
ton début et ta fin
le réconfort et l'absence
les bras qui t'enserrent
et ceux qui te libèrent
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
je suis ta meilleure amie
je suis ton pire ennemi
j'étais là au début
je serai là à la fin
je suis la vie et la mort
l'univers et fin
je t'ai porté dans mon ventre
je te porterai en terre
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
je suis dans ta parole à nouveau libérée
dans ta gorge qui soudain se serre
dans tes larmes qui enfin jaillissent
je suis là où tu ne m'attendais pas
je suis celle qui ne t'attendait plus
celle qui sera toujours là
celle qui t'avait oublié
celle qui parlait de toi
celle qui n'est jamais venue
celle que tu retrouveras
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
ta vigilance ton inquiétude
ton ouverture et ta prison
ta lumière et l'obscurité
jamais là dans cette vie
toujours présente dans la suivante
ton univers et la fin
ta mort et ton extase
celle qui se tient derrière toi
celle qui t'attend au tournant
Je ne sais plus qui (je sais très bien, mais bon) avait dit qu'il ne fallait jamais regretter un post, mais celui-là, je vais le regretter :).
C'est un peu délicat parfois de savoir qui me lit sans savoir comment au juste on me lit, m'enfin c'est pas très grave, comme mise en danger, je fais pire en ce moment.
Une fois de plus complètement stoned, atomisée, dispersée/ramassée, c'est pas tous les week-end que j'ai quatre expériences mystiques par jour et il m'importe, j'ignore au juste pourquoi mais avant de laisser les choses se décanter, de marquer le coup par un fantasme de toute puissance et par une parole complètement spontanée, aussi idéale qu'honteusement lyrique (et bien entendu : oui, c'est hormonal).
nb : désolée pour les répétitions dans les derniers posts, écrire, évidences, ben ouais quoi, ça me fatigue rien que de penser à les corriger.
Ecrit par Loutre, le Lundi 12 Septembre 2005, 20:45 dans la rubrique Journal de bord.
Commentaires :
L'Ours
13-09-05
à 19:05
J'aime ! je peux le recopier dans les pages poétiques du "nouvô boulô d'argent" ???, hein dis? hein? je peux ? dis oui s'te plait ! hein ?
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