Switchages, archétypes et célébrations
Il y a deux ans, devant le métro Saint-Jacques, je m'avouais en m'étranglant à moitié que j'étais à nouveau capable de craquer sur quelqu'un. (Ce qu'on peut survivre quand même !) Après ça les choses ont un peu tourné au bizarre, comme dirait Neil Gaiman, au bizarre vraiment.
(Oui je sais c'est un post étrange, je ne ne sais pas par quel bout le prendre.)
Mettons que... voilà : tu auras remarqué, lecteur, que pour la première fois depuis deux ans et demi, je n'ai célébré ici ni l'anniversaire de ma première rencontre avec Julie, ni son propre anniversaire (30 ans, la vache !), ni surtout l'anniversaire de notre rupture, un certain soir d'un certain Samhain (c'est terrible hein !) ; que je n'ai, d'ailleurs, ni parlé de Maura Tierney (et pourtant j'aurais beaucoup de choses à dire sur elle, notamment sur son rapport avec les princes charmants), ni de Jodie Foster (et pourtant j'aurais là encore beaucoup à dire sur le bleu des yeux de Jodie Foster). Comme il faut bien que j'aie quelque chose à célébrer (je veux dire, quelque chose d'autre que tout ce que j'ai célébré la semaine dernière, avec une nette prédisposition à l'émotion lacrimale, faites-moi penser à noter que la seule, la seule réelle chose indispensable dans un cercle c'est un putain de rouleau de sopalin, parce qu'une vraie sorcière ne se mouche pas dans son tee-shirt) je reviens sur ce mercredi midi de début novembre, où j'ai découvert que j'étais à nouveau capable -- ô renaissance -- de craquer sur quelqu'un d'autre que mon exe.
Que ça ait été sur un garçon n'a pas grande importance, bien qu'on me demande (ceci pour les pj mais c'est pas pour fidéliser la clientèle) à droite à gauche si j'ai switché définitivement (ça va pas non ?:)) (définitivement au milieu de tout, dans un grand bordel et dans la plus grande incohérence) ou qu'on parle de Laurent comme d'un archétype masculin (ça va pas non ?:))
(Ouaipf j'aime bien citer les prénoms de temps à autre, ça fait vivre les personnages...)
Ouais ben voilà quoi :). C'était très doux, de penser à autre chose. (Mentalement je ne peux pas aller plus loin, faire part de regrets, de remords, de trucs et de machins, parce que je n'en pense pas une seule, de ces pensées. Mais ça a vraiment été ma renaissance, à nouveau au monde sur les grands chemins).
(Oui je sais c'est un post étrange, je ne ne sais pas par quel bout le prendre.)
Mettons que... voilà : tu auras remarqué, lecteur, que pour la première fois depuis deux ans et demi, je n'ai célébré ici ni l'anniversaire de ma première rencontre avec Julie, ni son propre anniversaire (30 ans, la vache !), ni surtout l'anniversaire de notre rupture, un certain soir d'un certain Samhain (c'est terrible hein !) ; que je n'ai, d'ailleurs, ni parlé de Maura Tierney (et pourtant j'aurais beaucoup de choses à dire sur elle, notamment sur son rapport avec les princes charmants), ni de Jodie Foster (et pourtant j'aurais là encore beaucoup à dire sur le bleu des yeux de Jodie Foster). Comme il faut bien que j'aie quelque chose à célébrer (je veux dire, quelque chose d'autre que tout ce que j'ai célébré la semaine dernière, avec une nette prédisposition à l'émotion lacrimale, faites-moi penser à noter que la seule, la seule réelle chose indispensable dans un cercle c'est un putain de rouleau de sopalin, parce qu'une vraie sorcière ne se mouche pas dans son tee-shirt) je reviens sur ce mercredi midi de début novembre, où j'ai découvert que j'étais à nouveau capable -- ô renaissance -- de craquer sur quelqu'un d'autre que mon exe.
Que ça ait été sur un garçon n'a pas grande importance, bien qu'on me demande (ceci pour les pj mais c'est pas pour fidéliser la clientèle) à droite à gauche si j'ai switché définitivement (ça va pas non ?:)) (définitivement au milieu de tout, dans un grand bordel et dans la plus grande incohérence) ou qu'on parle de Laurent comme d'un archétype masculin (ça va pas non ?:))
(Ouaipf j'aime bien citer les prénoms de temps à autre, ça fait vivre les personnages...)
Ouais ben voilà quoi :). C'était très doux, de penser à autre chose. (Mentalement je ne peux pas aller plus loin, faire part de regrets, de remords, de trucs et de machins, parce que je n'en pense pas une seule, de ces pensées. Mais ça a vraiment été ma renaissance, à nouveau au monde sur les grands chemins).
Ecrit par Loutre, le Lundi 7 Novembre 2005, 20:56 dans la rubrique Journal de bord.
Commentaires :
CoYoTE
07-11-05
à 21:54
Je découvre ici. Très intéressants textes et photos. Je reviendrais marauder.
Repondre a ce commentaire
Re:
Un coyote en maraude ? Rhâââ, dans mes bras virtuels. Je vais aller rôder chez toi, j'aime bien les animaux métamorphes :).
Re: Re: Re:
Va savoir. Des trucs de bestioles qui rôdent. La croisée des grands chemins, l'odeur de la terre, le trickster qui t'attend au tournant (et dans la colonne de droite), la sensation d'être au monde sans y être, des rapports bizarres avec la réalité, des trucs de meute, des putains de métaphores animalières trop nombreuses pour être honnêtes, tout ça quoi :).
Re: Re: Re: Re:
Mais alors, dans ce cas, une question s'(un?)pose :
Que vient faire une loutre dans la meute?
Tu connais la chanson du trickster de Radiohead?
Que vient faire une loutre dans la meute?
Tu connais la chanson du trickster de Radiohead?