Le papotin du vendredi soir, #3
Merde. Bordel.
J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, essayer de faire rentrer un paradigme carré dans un trou hexagonal, mais le constat est là : c'est long, un mois. Sauf que ça fait plus que trois semaines et demi mais quand même : c'est long. Est-ce qu'on peut parler d'une ***vraie*** (arg) histoire dans ces cas-là ? Est-ce que ça vaut la peine de vivre quelque chose à grand coups de sms et de coups de fil ? (je me contente de poser la question parce que le suppose que la réponse est oui -- dans le sens où toute une troupe d'anges peut tenir sur le fil d'un rasoir -- borderline le oui). En attendant j'aurais bien besoin d'un séminaire de remotivation de quadra désenchanté(e). (C'est pour demain : sortir et faire briller arguments, mettre la boomerang au frais).
Serait temps de penser à autre chose et de convoquer mes chères obsessions (never surrender) à venir se percher sautillantes sur ma fenêtre, l'oeil rouge et la plume luisante. Qu'on monte à cru sur nos petits chevaux en hurlant et qu'on aille étriper quelques mecs du village d'à côté, histoire de pas être gentil (pour autant qu'une métaphore puisse sautiller et monter à cru). Allez, allez. La steppe. Quand je sens l'odeur du feu de tourbe, c'est parti.
J'ai beau retourner le problème dans tous les sens, essayer de faire rentrer un paradigme carré dans un trou hexagonal, mais le constat est là : c'est long, un mois. Sauf que ça fait plus que trois semaines et demi mais quand même : c'est long. Est-ce qu'on peut parler d'une ***vraie*** (arg) histoire dans ces cas-là ? Est-ce que ça vaut la peine de vivre quelque chose à grand coups de sms et de coups de fil ? (je me contente de poser la question parce que le suppose que la réponse est oui -- dans le sens où toute une troupe d'anges peut tenir sur le fil d'un rasoir -- borderline le oui). En attendant j'aurais bien besoin d'un séminaire de remotivation de quadra désenchanté(e). (C'est pour demain : sortir et faire briller arguments, mettre la boomerang au frais).
Serait temps de penser à autre chose et de convoquer mes chères obsessions (never surrender) à venir se percher sautillantes sur ma fenêtre, l'oeil rouge et la plume luisante. Qu'on monte à cru sur nos petits chevaux en hurlant et qu'on aille étriper quelques mecs du village d'à côté, histoire de pas être gentil (pour autant qu'une métaphore puisse sautiller et monter à cru). Allez, allez. La steppe. Quand je sens l'odeur du feu de tourbe, c'est parti.
Ecrit par Loutre, le Vendredi 27 Janvier 2006, 20:42 dans la rubrique Journal de bord.