La patte du renard

Pour celui-ci, adaptation d'un texte de Clarissa Pinkola Estés.
Pour les autres, textes L. et moi par sms (voui, l'exhibition, tout ça...) ; en détails uniquement, le reste étant 1) trop grand ; 2) à caractère sexuel vraiment trop explicite pour figurer ici ; 3) privé (des incohérences et de leurs rapports avec mon équilibre affectif...) ; et ne conviennent pas aux enfants de moins de 36 mois, contiennent de petits mots cochons qui ne sont pas destinés à être avalés, ces callis ne sont pas un jouet, risque d'étouffement, etc.
Et comme la mise en page sans texte autour des images est vraiment trop moche, quelques extraits de Pinkola Estés pour enrober le tout :

Certaines choisissent des objets, des écrits, des jouets et autres symboles de l'enfance destinée à être évoquée. Elles arrangent l'ofrenda à leur manière, racontent ou non l'histoire qui va avec et laissent l'autel dressé aussi longtemps qu'elles le souhaitent. L'ofrenda témoigne de leurs peines passées, de leur valeur, de leur triomphe contre l'adversité.
Cette façon de considérer le passé a plusieurs conséquences : elle met les choses en perspective, recompose avec compassion une époque révolue en exposant une expérience vécue, ce que l'on en a fait, ce qui est digne d'admiration. (...)

Et voilà. Et j'en suis là. Je ne connaîtrai pas la peur...
Ecrit par Loutre, le Dimanche 14 Août 2005, 13:43 dans la rubrique Journal de bord.
Commentaires :
Re:
... il ne restera rien, rien que toi.
Mais il ne s'agit pas de les faire disparaître, mais de les intégrer, de ne pas se laisser submerger, de les transformer.
Bon, Chelsea, c'est décidé très unilatéralement, on se voit à la rentrée. (Là, je repars, hé hé hé !)
Bises
Mais il ne s'agit pas de les faire disparaître, mais de les intégrer, de ne pas se laisser submerger, de les transformer.
Bon, Chelsea, c'est décidé très unilatéralement, on se voit à la rentrée. (Là, je repars, hé hé hé !)
Bises
a propos
Un article joliment décoré contenant un texte interessant, je passerais plus souvent par içi, Loutre
un fois que l'on a rendu hommage à l'enfant en nous, en dressant un autel... qu'on laisse partir tout ce qui fut... il reste quoi ?
Chelsea