Florence Magnin, Paris, marcher
Allez remuez vous les parisiens, vous n'avez plus que jusqu'au 5 janvier pour aller à l'expo Florence Magnin à la galerie Daniel Maghen, 47 quai des Augustins, métro Saint Michel. Elle signait aujourd'hui, c'est con hein ? (Un tel péché d'ignorance me sera-t-il pardonné ?)
J'ai déjà dit à quel point arpenter le pavé parisien la nuit après un dîner pour rentrer à la maison me mettait dans des états seconds ? Probablement. Je me demande si je pourrai m'en passer. Probablement pas. La pluie fine, l'odeur de la nuit parisienne. Si ça ne tue pas complètement ma mlc, pas davantage que le bourgueil et l'irish-coffee, ça l'écrête pour un temps. Le matin courir, pat pat pat pat pat, la nuit marcher, être bouleversée dans la journée, les ongles bleus d'encre Sennelier. C'est juste très bizarre, de ne pas savoir ce que j'ai.
J'ai déjà dit à quel point arpenter le pavé parisien la nuit après un dîner pour rentrer à la maison me mettait dans des états seconds ? Probablement. Je me demande si je pourrai m'en passer. Probablement pas. La pluie fine, l'odeur de la nuit parisienne. Si ça ne tue pas complètement ma mlc, pas davantage que le bourgueil et l'irish-coffee, ça l'écrête pour un temps. Le matin courir, pat pat pat pat pat, la nuit marcher, être bouleversée dans la journée, les ongles bleus d'encre Sennelier. C'est juste très bizarre, de ne pas savoir ce que j'ai.
Ecrit par Loutre, le Dimanche 19 Décembre 2004, 02:00 dans la rubrique Journal de bord.