Ah pffff, problématique, ça, d'autant qu'il serait fondamental de savoir ce qui, précisément, était venu se loger dans le tuyau, empêchant, de fait, le flux naturel de poissons et par extension la libération organique d'hormones euphorisantes et la gratification mentale liée au parfait roulement biphasique entre nourriture psychique et nourriture terrestre...

Étudions donc le le fait suivant: la capacité des loutres parisiennes à gérer les situations marmoréennes et conflictuelles, puis à résoudre d'insolubles dilemmes...
Pour ce faire penchons-nous sur des d'éventuels phénomènes symbiotiques naturels entre loutre et autres espèces locales, également en lutte contre l'adversité pour parvenir par l'association et l'entente mutuelle à un résultat qui autrement serait resté hors de portée de tous...
2ème piste: Quel lien d'intérêt la loutre peut être entretenir avec le poisson, qui constitue sa condition de survie ? Y a t-il possibilité pour la loutre et le poisson de trouver de concert un terrain de connivence tacite ?
Et enfin: la loutre peut-elle attraper un poisson sans l'aide de cet encombrant accessoire que représente le tuyau conducteur ( à la symbolique plurielle, bien évidemment )?
Parce qu'à ce stade il est nécessaire et même impératif de rappeler que tous les poissons ne passent pas par le tuyau...

C'était le délire d'une début d'après-midi dominical


Coronis( qui va encore être en retard à son RDV )

mediaTIC - actualite du blog et des blogs : " La loutre essaya de l'attraper, se mit en colère, grogna, gronda, mais en vain. Finalement, elle s'assit et se mit à pleurer de déception, jusqu'à ce que le photographe lui-même, attendri, vint la consoler en débouchant le tuyau ! Moralité : Il n'y a pas de situations désespérées ; il y a seulement des loutres qui désespèrent des situations. Ben quoi ?"Posté le 14 décembre 2003."