A pas de loup de feu de neige
Vent de sérénité, histoire de fêter le dernier post de l'année, avec vue sur la Bretagne enneigée.
Se retourner et sourire à la vue du chemin parcouru : je n'avais pas prévu ça, ni ça, ni encore ça. (J'avais évidemment prévu d'autres choses, qui ne sont pas arrivées, c'est taquin, parfois, la route).
Bon, enfin, ce n'est pas cette année encore que j'irai me plaindre, et surtout pas sur cette manière de fêter l'année nouvelle (tout mais alors vraiment tout sauf minuit sur la place de Valloire avec un DJ savoyard). Ou de se fader une belle-mère odieuse dans une maison sans électricité sans eau et surtout sans réseau Orange. Ou de perdre ses lentilles dans la cendre de cheminée. Ou de se faire plaquer par L. (ça m'est revenu il y a quelques jours : c'est vrai que ce crétin a osé me quitter un soir de 31 décembre ; mais c'était il y a longtemps. Arf, pourquoi faut-il qu'il n'y ait jamais prescription pour ces crimes de sang et pourquoi ne puis-je pas tout simplement oublier quelque chose qui doit être sorti de sa mémoire il y a belle lurette et pourquoi cette sournoise inquiétude qui me taraude trois neurones en haut à gauche, à moins que ce ne soit la sinusite ?).
Alors (reléguons la sournoise inquiétude quelque part au cimetière des inquiétudes avec des fleurs en plastique rouge sur sa tombe) j'ose même dire que je suis assez contente de moi en cette fin d'année 2005, même si je n'ai pas fait grand chose toute seule :).
Edit : quand même si on ne se refait pas, ce qu'on refait en revanche ce sont systématiquement les mêmes posts de fin d'année. C'est vaguement comme de rédiger des bulletins sans pouvoir regarder ce qu'on a mis au premier trimestre, pour s'apercevoir qu'on a écrit exactement la même chose, à la virgule près :). Eh bien, pour faire rire les archives (des octets très rigolards), ça restera comme ça.
Se retourner et sourire à la vue du chemin parcouru : je n'avais pas prévu ça, ni ça, ni encore ça. (J'avais évidemment prévu d'autres choses, qui ne sont pas arrivées, c'est taquin, parfois, la route).
Bon, enfin, ce n'est pas cette année encore que j'irai me plaindre, et surtout pas sur cette manière de fêter l'année nouvelle (tout mais alors vraiment tout sauf minuit sur la place de Valloire avec un DJ savoyard). Ou de se fader une belle-mère odieuse dans une maison sans électricité sans eau et surtout sans réseau Orange. Ou de perdre ses lentilles dans la cendre de cheminée. Ou de se faire plaquer par L. (ça m'est revenu il y a quelques jours : c'est vrai que ce crétin a osé me quitter un soir de 31 décembre ; mais c'était il y a longtemps. Arf, pourquoi faut-il qu'il n'y ait jamais prescription pour ces crimes de sang et pourquoi ne puis-je pas tout simplement oublier quelque chose qui doit être sorti de sa mémoire il y a belle lurette et pourquoi cette sournoise inquiétude qui me taraude trois neurones en haut à gauche, à moins que ce ne soit la sinusite ?).
Alors (reléguons la sournoise inquiétude quelque part au cimetière des inquiétudes avec des fleurs en plastique rouge sur sa tombe) j'ose même dire que je suis assez contente de moi en cette fin d'année 2005, même si je n'ai pas fait grand chose toute seule :).
Edit : quand même si on ne se refait pas, ce qu'on refait en revanche ce sont systématiquement les mêmes posts de fin d'année. C'est vaguement comme de rédiger des bulletins sans pouvoir regarder ce qu'on a mis au premier trimestre, pour s'apercevoir qu'on a écrit exactement la même chose, à la virgule près :). Eh bien, pour faire rire les archives (des octets très rigolards), ça restera comme ça.
Ecrit par Loutre, le Samedi 31 Décembre 2005, 19:14 dans la rubrique Journal de bord.