Questionnaire de chez Philograph
1. Mon vice le plus honteux.
M'emmerder au lit très rapidement (3 mois, 6 mois au mieux) et ne jamais l'avouer.
2. Le principal trait de mon caractère que j’étouffe lors des nouvelles rencontres pour avoir l’air d’une personne agréable.
Mon orgueil démesuré. Mais qu'est-ce qu'on s'emmerde...
3. La qualité que j’exècre chez les hommes.
Leur mollesse. Je veux dire par là : quand ils te jurent qu'ils idolâââtrent les femmes, et combien elles sont infiniment supérieures aux hommes, et pourquoi il est donc tellement plus confortable de les laisser tout décider...
4. La qualité que j’exècre chez les femmes.
Leur capacité de croire ; leur incapacité de douter.
5. Mon principal défaut.
Le sarcasme (mais j'me soigne)
6. La principale qualité que les autres conservent avec moi malgré leur envie de me dire mes quatre vérités.
Si je savais ce que signifie "conservent avec moi" je pourrais répondre...
7. Ce qui m’angoisse le plus chez mes amis.
Qu'ils m'aiment moins.
8. Mon occupation indécente préférée.
Grignoter des trucs bourrés de glucides lents et de lipides devant des séries débiles.
9. Le rêve de bonheur que j’invente pour faire croire au monde que mon esprit est sain.
Mon indépendance, mon autonomie, mon célibat me plongent dans un bonheur permanent.
10. Le plus gros malheur que j'ai causé à autrui.
J'ai pourri, je continue à pourrir, je pourrirai toujours la vie de ma mère. Ça lui apprendra.
11. L'ennemi à qui je souhaiterais d’être moi-même.
Luc Ferry.
12. Là où les autres m’enverraient vivre si je me révélais à eux telle que je suis vraiment.
En hp évidemment.
13. La couleur de mes cernes quand je rumine contre ceux que « j’aime ».
Vertes ? Bleues ? Roses à rayures fluo ?
13. La fleur que je prétends aimer pour avoir l’air plus romantique, plus artiste ou plus botaniste que je ne suis.
Bah... la mandragore...
14. Le nom d’oiseau qui me colle le mieux à la peau.
Inadaptée sociale.
15. L’auteur de prose que je ressors à tout bout de champ quand je veux faire croire que je lis.
Je ne fais pas croire que je lis ; je lis. Bon, d'accord. Gracq, donc.
16. Le poète dont je pourrais citer deux vers d’affilée sans aller chercher sur internet (ok, et maintenant, un autre…)
Saint John Perse. Rimbaud. Artaud. Bashung. Et... José-Maria de Hérédia (Quoi ?)
17. Le héros que je voudrais vraiment être si je parvenais à oublier que pour cette question il faut se montrer humaniste, cultivée, romantique, racée, tout ce que je ne suis pas.
Julien l'Apostat, sans aucun doute.
18. La première héroïne de fiction qui me vient à l’esprit et qui vaudra pour celle que je prétends préférer puisque je n’en connais qu’une ou deux et encore, en forçant.
J'aime pas trop les héroïnes... et j'ai pas envie d'en chercher une...
19. Celui de Beethoven ou de Mozart que je préfère à pile ou face vu que ce sont les deux seuls noms de compositeurs dont je me souviens et que je ne connais que la 9ème , enfin le titre, pas la musique.
Ni l'un, ni l'autre. Satie for ever. Vivaldi. Bach.
20. Le peintre dont je me dis à chaque fois « Ah, oui, ça il faut que je retienne son nom pour dire que j’aime bien ».
Tal Coat
21. Un mec qui ne me dérange pas trop, dans la vie réelle.
Mon ex puissance 4, dans les bras de qui je peux pleurer.
22. Une femme qui ne me dérange pas trop, dans la vie réelle.
Pour peu qu'elle n'ait ni une voix aiguë, ni d'insupportables petites lunettes en formes de nuage, ni un gros cul, qu'elle ne se la joue pas trop et qu'elle n'essaie pas de me piquer l'amour en cours, homme ou femme, à peu près toutes.
23. Un personnage que j’ai vaguement associé à quelque chose de positif dans mon cours d’histoire.
? Pasteur ? Bernard Palissy ?
24. La pire bouffe et le pire liquide que je suis capable d’ingurgiter quand j’ai la flemme d’aller faire les courses et qu’il n’y a plus rien dans le frigo.
Crackers mous ou pain de mie moisi et Royco avec l'eau chaude du robinet. Baguette desséchée les jours d'abondance.
25. Ce que je déteste au quotidien et qui me pourrit l’existence sans que j’ose l’affronter.
Ma procrastination.
26. Un personnage que j’ai vu au cours d’histoire et qui n’est pas sympa.
Tous, gobalement. Surtout à partir de 1933.
27. Un fait historique.
Ça devait être en juillet 69 (ah la belle année) quand mes parents m'ont réveillée pour que je puisse regarder les petits humains sur la Lune...
28. Un fait militaire que j’ai vu au cours et dont je me souviens.
Euh... faut pas trop m'en demander...
29. Le type d’angoisse qui monte en moi quand on me demande la réforme que j’estime le plus.
Je hais les réformes. Je n'aime que les révolutions.
30. Le don de la nature que je voudrais avoir pour être encore plus minable.
Vingt centimètres en plus dans le sens de la hauteur, histoire de voir à quoi ressemble le monde vu du sommet de la chaîne alimentaire.
31. Comment j'aimerais que mon entourage meure.
Après moi.
32. L'état présent de ma misère morale, intellectuelle et sociale.
S. m'a bouffée toute mon énergie ce matin. Pour me remuer, j'ai fait le ménage. J'attends très dubitativement les vacances, tous les niveaux à plat.
33. La faute que je commets tout le temps et que les autres n’osent pas me révéler.
Je prends l'air très dur alors qu'en fait je crève de timidité. Ou je parle trop, en coupant la parole à des crétins qui ont des trucs vachement moins intéressants que moi à dire.
34. Un truc que je dis pour avoir l’air moins con et en faisant tout pour croire que ça marche.
Rien.
M'emmerder au lit très rapidement (3 mois, 6 mois au mieux) et ne jamais l'avouer.
2. Le principal trait de mon caractère que j’étouffe lors des nouvelles rencontres pour avoir l’air d’une personne agréable.
Mon orgueil démesuré. Mais qu'est-ce qu'on s'emmerde...
3. La qualité que j’exècre chez les hommes.
Leur mollesse. Je veux dire par là : quand ils te jurent qu'ils idolâââtrent les femmes, et combien elles sont infiniment supérieures aux hommes, et pourquoi il est donc tellement plus confortable de les laisser tout décider...
4. La qualité que j’exècre chez les femmes.
Leur capacité de croire ; leur incapacité de douter.
5. Mon principal défaut.
Le sarcasme (mais j'me soigne)
6. La principale qualité que les autres conservent avec moi malgré leur envie de me dire mes quatre vérités.
Si je savais ce que signifie "conservent avec moi" je pourrais répondre...
7. Ce qui m’angoisse le plus chez mes amis.
Qu'ils m'aiment moins.
8. Mon occupation indécente préférée.
Grignoter des trucs bourrés de glucides lents et de lipides devant des séries débiles.
9. Le rêve de bonheur que j’invente pour faire croire au monde que mon esprit est sain.
Mon indépendance, mon autonomie, mon célibat me plongent dans un bonheur permanent.
10. Le plus gros malheur que j'ai causé à autrui.
J'ai pourri, je continue à pourrir, je pourrirai toujours la vie de ma mère. Ça lui apprendra.
11. L'ennemi à qui je souhaiterais d’être moi-même.
Luc Ferry.
12. Là où les autres m’enverraient vivre si je me révélais à eux telle que je suis vraiment.
En hp évidemment.
13. La couleur de mes cernes quand je rumine contre ceux que « j’aime ».
Vertes ? Bleues ? Roses à rayures fluo ?
13. La fleur que je prétends aimer pour avoir l’air plus romantique, plus artiste ou plus botaniste que je ne suis.
Bah... la mandragore...
14. Le nom d’oiseau qui me colle le mieux à la peau.
Inadaptée sociale.
15. L’auteur de prose que je ressors à tout bout de champ quand je veux faire croire que je lis.
Je ne fais pas croire que je lis ; je lis. Bon, d'accord. Gracq, donc.
16. Le poète dont je pourrais citer deux vers d’affilée sans aller chercher sur internet (ok, et maintenant, un autre…)
Saint John Perse. Rimbaud. Artaud. Bashung. Et... José-Maria de Hérédia (Quoi ?)
17. Le héros que je voudrais vraiment être si je parvenais à oublier que pour cette question il faut se montrer humaniste, cultivée, romantique, racée, tout ce que je ne suis pas.
Julien l'Apostat, sans aucun doute.
18. La première héroïne de fiction qui me vient à l’esprit et qui vaudra pour celle que je prétends préférer puisque je n’en connais qu’une ou deux et encore, en forçant.
J'aime pas trop les héroïnes... et j'ai pas envie d'en chercher une...
19. Celui de Beethoven ou de Mozart que je préfère à pile ou face vu que ce sont les deux seuls noms de compositeurs dont je me souviens et que je ne connais que la 9ème , enfin le titre, pas la musique.
Ni l'un, ni l'autre. Satie for ever. Vivaldi. Bach.
20. Le peintre dont je me dis à chaque fois « Ah, oui, ça il faut que je retienne son nom pour dire que j’aime bien ».
Tal Coat
21. Un mec qui ne me dérange pas trop, dans la vie réelle.
Mon ex puissance 4, dans les bras de qui je peux pleurer.
22. Une femme qui ne me dérange pas trop, dans la vie réelle.
Pour peu qu'elle n'ait ni une voix aiguë, ni d'insupportables petites lunettes en formes de nuage, ni un gros cul, qu'elle ne se la joue pas trop et qu'elle n'essaie pas de me piquer l'amour en cours, homme ou femme, à peu près toutes.
23. Un personnage que j’ai vaguement associé à quelque chose de positif dans mon cours d’histoire.
? Pasteur ? Bernard Palissy ?
24. La pire bouffe et le pire liquide que je suis capable d’ingurgiter quand j’ai la flemme d’aller faire les courses et qu’il n’y a plus rien dans le frigo.
Crackers mous ou pain de mie moisi et Royco avec l'eau chaude du robinet. Baguette desséchée les jours d'abondance.
25. Ce que je déteste au quotidien et qui me pourrit l’existence sans que j’ose l’affronter.
Ma procrastination.
26. Un personnage que j’ai vu au cours d’histoire et qui n’est pas sympa.
Tous, gobalement. Surtout à partir de 1933.
27. Un fait historique.
Ça devait être en juillet 69 (ah la belle année) quand mes parents m'ont réveillée pour que je puisse regarder les petits humains sur la Lune...
28. Un fait militaire que j’ai vu au cours et dont je me souviens.
Euh... faut pas trop m'en demander...
29. Le type d’angoisse qui monte en moi quand on me demande la réforme que j’estime le plus.
Je hais les réformes. Je n'aime que les révolutions.
30. Le don de la nature que je voudrais avoir pour être encore plus minable.
Vingt centimètres en plus dans le sens de la hauteur, histoire de voir à quoi ressemble le monde vu du sommet de la chaîne alimentaire.
31. Comment j'aimerais que mon entourage meure.
Après moi.
32. L'état présent de ma misère morale, intellectuelle et sociale.
S. m'a bouffée toute mon énergie ce matin. Pour me remuer, j'ai fait le ménage. J'attends très dubitativement les vacances, tous les niveaux à plat.
33. La faute que je commets tout le temps et que les autres n’osent pas me révéler.
Je prends l'air très dur alors qu'en fait je crève de timidité. Ou je parle trop, en coupant la parole à des crétins qui ont des trucs vachement moins intéressants que moi à dire.
34. Un truc que je dis pour avoir l’air moins con et en faisant tout pour croire que ça marche.
Rien.
Ecrit par Loutre, le Dimanche 15 Juin 2003, 21:35 dans la rubrique Journal de bord.
Commentaires :
Anonyme
15-06-03
à 22:00
Beh ça donne un petit aperçu ;)
Repondre a ce commentaire
Re: Re:
Salut ! (puis-je ?)
J'avais reconnu le "beh" de Coronis. La procrastination, mon pire ennemi à moi aussi, je suis une très grande procrastineuse... pas facile hein ? Mais au moins, ça développe des talents d'improvisation rapide, ce qui se révèle parfois utile !
Re: Re: Re:
Oui tu peux, évidemment.
Enorme avantage de la procrastination : quand on bosse, on bosse, et on abat en une nuit le boulot de trois jours... Ma grande théorie, c'est que l'ensemble est en rapport avec notre production d'adrénaline, ou notre addiction à l'adrénaline ! Et alors là !!!!!!! (y'a pas, y'a pas, les hormones naturelles, c'est ce qu'il y a de mieux) ;-)
Enorme avantage de la procrastination : quand on bosse, on bosse, et on abat en une nuit le boulot de trois jours... Ma grande théorie, c'est que l'ensemble est en rapport avec notre production d'adrénaline, ou notre addiction à l'adrénaline ! Et alors là !!!!!!! (y'a pas, y'a pas, les hormones naturelles, c'est ce qu'il y a de mieux) ;-)
Anonyme
17-06-03
à 18:45
Re: Re: Re: Re:
Beh... oups, il faut que je fasse attention à mes tics épistolaires, moi, au moins autant qu'aux fautes d'étourderie. :)
Je disais donc, moi c'est par périodes curieusement... je ne remets pas au lendemain mais au mois suivant et ensuite je n'arrête pas pendant des semaines jusqu'à la prochaine crise...
Le pire c'est quand il s'agit de se rendre chez le dentiste...
Je disais donc, moi c'est par périodes curieusement... je ne remets pas au lendemain mais au mois suivant et ensuite je n'arrête pas pendant des semaines jusqu'à la prochaine crise...
Le pire c'est quand il s'agit de se rendre chez le dentiste...
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U-blog / philograph / Toutes les réponses au questionnaire : "15. Le grenier de Loutre "
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Anonyme
12-01-07
à 05:51
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procrastineuse: Web Search Results from Answers.com : " @ outerspace » L’art de la procrastinationComme toute procrastineuse professionnelle, il me fallait une bonne excuse pour que ma motivation, à bloc à mon retour sous l’effet combiné de la chaleur et ...outerspace.eu.org/2006/11/23/ lart-de-la-procrastination/Grenier - Questionnaire de chez PhilographLa procrastination, mon pire ennemi à moi aussi, je suis une très grande procrastineuse... pas facile hein ? Mais au moins, ça développe des talents ...joueb.com/loutre/news/22.shtml" rel="nofollow"